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Entrada del blog por Hosea Salvado

Six Mythes racontés sur la Truffe 8 Lettres

Six Mythes racontés sur la Truffe 8 Lettres

Je sale, je poivre, puis j’ouvre la boîte de truffes. La voilà levée comme un diable qui sort de sa boîte. Elle sort de sa torpeur et elle vient se coller contre moi pour observer ce que je fais. Faire un cake aux fruits confits, je comprends, elle doit picorer pendant qu’elle vous aide, mais le pâté cru, pouah ! Pour une campagnarde, le foie cru, ce n’est rien au regard des cris du cochon quand on le tue ! Je n’ai pas été déçue du voyage : je vois sa tête s’allonger en voyant les masses de foie rouges et luisantes. Le spectacle n’était effectivement pas très ragoûtant. Ce n’est pas pareil ! Mais ce n’est pas ainsi que l’entendent la plupart des géologues qui emploient ces expressions ; ils partent de cette idée, qu’entre l’époque actuelle et l’époque ancienne, il n’y a pas de transition qu’un hiatus immense sépare les phénomènes anciens et les nouveaux ; qu’en un mot, une grande révolution à tout changé, et a fait succéder une nature nouvelle à une nature ancienne

Mais cela ne peut pas te maigrir nom plus. Le premier aurait été amené en Amérique centrale où il aurait été domestiqué par les Mayas il y a plus de 2 000 ans (ou possiblement par leurs prédécesseurs, les Olmecs, il y a 2 600 ans), tandis que le second se serait plutôt diffusé vers le sud. Le poëte, qui était simplement élégiaque, est devenu romantique ; la dame, qui n’avait fait qu’un roman assez pâle et à catastrophe malheureuse, en a fait un second beaucoup meilleur, et qui finit par un beau et bon mariage. Robert fait une vilaine grimace, et Jeanne repose sa tasse de café. C’est toujours le cas, répondit Jeanne en souriant. C’est étonnant qu’elle ait voulu le faire avec vous. » Autrefois Esther, imbue de la morale particulière aux courtisanes, trouvait toutes ces gentillesses si naturelles qu’elle n’estimait une de ses rivales que par ce qu’elle savait faire dépenser à un homme. « Lorsque l’autorité administrative a alloué, au titre de la répartition prévue aux articles L. 921-2 et L. 921-4, tout ou partie de certains quotas de captures ou d’efforts de pêche à des organisations de producteurs ou à leurs unions, celles-ci assurent la meilleure utilisation des sous-quotas sur la base d’un programme opérationnel de campagne de pêche prévu par l’article 9 du règlement (CE) n° 104/2000 du Conseil, du 17 décembre 1999, portant organisation commune des marchés dans le secteur des produits de la pêche et de l’aquaculture ou d’un plan de gestion durable des captures ou efforts de pêche

Je ne m’étends pas car j’aimerais bien que vous ne tombiez pas dans les pommes ! J’ai ri intérieurement et je me suis dit, pourquoi pas ? Quand j’ai dit que j’allais faire du pâté aux truffes, elle a sorti son museau du gros livre dans lequel elle était fourrée, comme d’habitude, et son regard s’est éclairé. Elle tordait un peu le nez et essayait de regarder ailleurs tout en vérifiant que tout tombait dans la bassine. Il importerait assez peu de le savoir, si la solution de cette question n’entraînait naturellement celle de la première. Cette année, qu’elle prononce an-n-née avec son accent mi-limousin, mi-quercinois, je les ai fabriqués avec la petite Anne qui était à Caussade avec Nicole. Figurez-vous que si Anne ne mange rien, elle adore les truffes. Elle le prit dans sa main et l’embrassa tendrement. Viande sanguinolente et molle, bruit humide et sourd quand la viande tombe dans la bassine… J’ai pris ma grande bassine en plastique bleu pâle et je lui ai demandé de la tenir pendant que je hachais la viande. J’ai ensuite posé sur la table deux grands couteaux et des planches à découper

Mauviettes sautées aux truffes. Il paraît cependant qu’il n’est pas impossible d’enlever aux espèces malfaisantes leur principe toxique par un traitement approprié. Ce n’est pas là assurément ce qui offre le plus d’intérêt aux lecteurs ordinaires, désireux avant tout de connaître en gros les plantes qu’ils rencontrent sur leur chemin. L’auteur divise son ouvrage en vingt-six tableaux, dont le dernier, qui traite de la toilette et de la coquetterie des végétaux, est dédié « aux fleurs qui parlent » Il expose dans un langage poétique, peut-être même un peu trop poétique, les différentes phases de la vie des fleurs. Les renseignemens que l’ouvrage de M. Cordier renferme sur ces végétaux si répandus et néanmoins si peu connus encore intéressent à un haut degré l’hygiène. La publicité des débats appliquée aux questions scientifiques a peu à peu transformé les habitudes de la foule. On cite des exemples de personnes qui sont mortes après avoir mangé des agarics bulbeux ou des agarics panthères qui avaient été préparés avec des précautions minutieuses, macérés, bouillis, lavés à grande eau, essuyés, mais auxquels on n’avait pas appliqué ce dernier précepte recommandé par Ambroise Paré : « Ainsy accoustrez les faut jeter aux privez. Les expériences tentées par Frédéric Gérard ont démontré que trois ou quatre heures d’immersion peuvent suffire pour rendre comestibles des espèces très malfaisantes, à la condition toutefois qu’après les avoir retirées de l’eau acidulée on les fasse blanchir dans de l’eau bouillante, que l’on jettera comme la première

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